Le jour du vernissage...
Autant de gouttes que de gens / A contre-courant et dans le vent./ Ombre contemplative des étreints soudains, / Nombre exclamatif des embruns malins.
La hauteur prend sa vue, / Elle s’arrime dans son nu.
Des lumières pygmées aux hasards verdoyants / Aux chaumières enviées des hangars rougeoyants / Des bolides sourds aux paragraphes criants, / De silence pleure sa fleur tant aimante.
La hauteur prend sa vue, / Elle s’arrime dans son nu.
Bleu et vert parlent le verlan / Tout en invitant jaune et sombre / Lumière enlève son chapeau / Ainsi parlent tous les animaux
La hauteur prend sa vue, / Elle s’arrime dans son nu.
Merci Corinne Béoust
Le 7.6.8 François Combot